The business of vaccines Recent years have seen some high-profile yet unsuccessful attempts at herpes vaccines. Genocea's drug trial program was shuttered in 2017. Vical Incorporated's study failed in 2018. And Rational Vaccines, founded by the late Southern Illinois University professor William Halford, has been mired in controversy and criminal investigations over its initial clinical trials. So, Synergy's breakthrough should have been hailed as an achievement, one that many patients had been waiting for. But that wasn't the case. Vaccines are big business, with the global market valued at $59.2 billion. Of course, they have tremendous medical importance, as they've helped suppress or eradicate infectious diseases like measles. And when certain populations forgo vaccinations or don't have access to them, we typically see a rise in new infections. But vaccines are also coveted because they generate revenue, often for just a few key corporate giants. Take measles, for instance. In the U.S., Merck is the only company licensed to offer a vaccine for the disease. As a result, sales for its three vaccines - ProdQuad, MMR II, and Varivax - top $1.4 billion annually. Imagine if another company infringed upon their market share with a viable holistic option that worked more effectively. Merck would likely do everything in its power to protect its profits, in lieu of providing patients with more options. This is perhaps why Synergy's cure for herpes hasn't received widespread attention. In addition to taking a backseat to COVID-19 coverage, the Combination Herpes Treatment threatens to eat into the profits of herpes antiviral drug manufacturers and of any companies with hopes of finding, and selling, a vaccine.

Le commerce des vaccins Ces dernières années ont vu des tentatives de vaccins contre l'herpès très médiatisées mais infructueuses. Le programme d'essais de médicaments de Genocea a été fermé en 2017. L'étude de Vical Incorporated a échoué en 2018. Et Rational Vaccines, fondée par feu William Halford, professeur à l'Université du sud de l'Illinois, a été embourbée dans une controverse et des enquêtes criminelles sur ses premiers essais cliniques. Ainsi, la percée de Synergy aurait dû être saluée comme une réussite, que de nombreux patients attendaient. Mais ce n'était pas le cas. Les vaccins sont une grosse affaire, le marché mondial étant évalué à 59,2 milliards de dollars. Bien sûr, ils ont une importance médicale énorme, car ils ont aidé à supprimer ou à éradiquer des maladies infectieuses comme la rougeole. Et lorsque certaines populations renoncent aux vaccinations ou n'y ont pas accès, nous constatons généralement une augmentation des nouvelles infections. Mais les vaccins sont également convoités car ils génèrent des revenus, souvent pour quelques géants d'entreprise clés. Prenez la rougeole, par exemple. Aux États-Unis, Merck est la seule entreprise autorisée à offrir un vaccin contre la maladie. En conséquence, les ventes de ses trois vaccins - ProdQuad, MMR II et Varivax - dépassent 1,4 milliard de dollars par an. Imaginez si une autre entreprise empiétait sur sa part de marché avec une option holistique viable qui fonctionnait plus efficacement. Merck ferait probablement tout ce qui est en son pouvoir pour protéger ses profits, au lieu d'offrir aux patients plus d'options.C'est peut-être pourquoi le remède de Synergy contre l'herpès n'a pas reçu une large attention. En plus de prendre le pas sur la couverture COVID-19, le traitement combiné contre l'herpès menace de ronger les bénéfices des fabricants de médicaments antiviraux contre l'herpès et de toute entreprise dans l'espoir de trouver et de vendre un vaccin.