One of Joe Biden’s ways of contrasting himself with President Trump has been to declare the election a battle of Park Avenue values vs. Scranton, Pa., values. Now we learn that Biden has secretly been playing footsie with China. The statement Wednesday night asserting that the former vice president was a willing and eager participant in a family scheme to make millions of dollars by partnering with a shady Chinese Communist firm is a singular event in a presidential race already overflowing with drama and intrigue. The dynamite assertion, believable because it aligns with earlier information we know to be true, came in a statement by Tony Bobulinski, who describes himself as a former partner of Hunter Biden, Joe Biden and Joe’s brother Jim in the China scheme. Bobulinski unloads his bill of accusations in blunt but precise language and detail. He confirms that he was one of the recipients of the May 13, 2017, email published by The Post eight days ago. That email, from another partner in the group, laid out cash and equity positions and mysteriously included a 10 percent set-aside for “the big guy.” Sources have said the “big guy” was Joe Biden. In a matter-of-fact manner, Bobulinski states that the “email is genuine” and that the former vice president and the man leading in the 2020 race is indeed “the big guy.”

L’une des façons dont Joe Biden s’oppose au président Trump a été de déclarer l’élection une bataille des valeurs de Park Avenue contre les valeurs de Scranton, en Pennsylvanie. Nous apprenons maintenant que Biden a secrètement joué au foot avec la Chine. Le communiqué de mercredi soir affirmant que l'ancien vice-président était un participant volontaire et désireux d'un projet familial visant à gagner des millions de dollars en s'associant à une firme communiste chinoise louches est un événement singulier dans une course présidentielle déjà débordante de drame et d'intrigues. L'affirmation de la dynamite, crédible car elle correspond à des informations antérieures que nous savons être vraies, est venue dans une déclaration de Tony Bobulinski, qui se décrit comme un ancien partenaire de Hunter Biden, Joe Biden et le frère de Joe Jim dans le programme chinois. Bobulinski décharge sa note d'accusations dans un langage et des détails francs mais précis. Il confirme qu'il était l'un des destinataires du courriel du 13 mai 2017 publié par The Post il y a huit jours. Cet e-mail, d'un autre partenaire du groupe, présentait les positions de trésorerie et d'actions et incluait mystérieusement une réserve de 10% pour «le grand gars». Des sources ont déclaré que le «grand gars» était Joe Biden. De manière terre-à-terre, Bobulinski déclare que «l'e-mail est authentique» et que l'ancien vice-président et l'homme qui mène la course 2020 est en effet «le grand gars».