Anglais

That’s welcome news to some, who fear that challenge trials present risks of serious complications and warn that the long-term impacts of SARS-CoV-2 infections are uncertain. Wilbur Chen, an infectious disease expert at the University of Maryland, Baltimore, who has conducted challenge experiments to study intestinal diseases including cholera, says such trials are far riskier for COVID-19. Antibiotics could effectively treat his volunteers if they got sick, Chen says, but “I don’t think there’s a good rescue therapy right now” for COVID-19. He co-wrote a recent article in the Proceedings of the National Academy of Sciences arguing that challenge experiments would be unethical at this point. Others, however, say the apparent success of some vaccines could strengthen the case for using challenge trials to test other vaccines. Once viable vaccines are available, it’s harder to justify continuing to use a placebo in traditional trials involving thousands of people, says Rutgers University, New Brunswick, bioethicist Nir Eyal, who earlier joined Lipsitch in supporting the use of challenge trials. “Are you going to hope that tens of thousands of people will altruistically be willing to forgo access to a proven vaccine? … Are you going to block their access to the vaccine?” he asks. Challenge trials offer a way to speed testing of other vaccines, which the world may end up needing. Seema Shah, a bioethicist at Northwestern University who has written about challenge trials, thinks such trials could still be useful, but there is less urgency now. And she would like to see more ways to ensure participants’ safety, such as finding biological markers for people at greater risk of getting sick. “I think I would feel more comfortable waiting a bit to see how those things developed and whether the risk could be minimized further,” she says. Lipsitch agrees that “the immediate need is not great” for human challenge trials. But, he adds, researchers “need to keep preparing in case we have reason to start doing them.”

Français

C’est une bonne nouvelle pour certains, qui craignent que les procès contestés présentent des risques graves complications et avertissent que les effets à long terme des infections par le SRAS-CoV-2 sont incertain. Wilbur Chen, expert en maladies infectieuses à l'Université du Maryland, Baltimore, qui a mené des expériences de provocation pour étudier les maladies intestinales y compris le choléra, dit que de tels essais sont beaucoup plus risqués pour le COVID-19. Les antibiotiques pourraient traiter efficacement ses volontaires s’ils tombent malades, dit Chen, mais «je ne pense pas qu’il y ait bonne thérapie de sauvetage en ce moment »pour COVID-19. Il a co-écrit un article récent dans les actes de la National Academy of Sciences faisant valoir ce défi des expériences seraient contraires à l'éthique à ce stade. D'autres, cependant, estiment que le succès apparent de certains vaccins pourrait renforcer la justifie l’utilisation d’essais de provocation pour tester d’autres vaccins. Une fois que les vaccins viables sont disponible, il est plus difficile de justifier de continuer à utiliser un placebo dans les essais traditionnels impliquant des milliers de personnes, dit l'Université Rutgers, Nouveau-Brunswick, le bioéthicien Nir Eyal, qui a rejoint Lipsitch pour soutenir l'utilisation des épreuves de provocation. «Vas-tu espérer que des dizaines de milliers de personnes seront altruistes disposées à renoncer à l'accès à une vaccin? … Allez-vous bloquer leur accès au vaccin? » il demande.Défi les essais offrent un moyen d'accélérer les tests d'autres vaccins, que le monde pourrait finir par besoin. Seema Shah, bioéthicienne à l'Université Northwestern qui a écrit sur le défi les essais, pense que de tels essais pourraient encore être utiles, mais il y a moins d'urgence maintenant. Et elle aimerait voir plus de moyens d'assurer la sécurité des participants, comme trouver des marqueurs pour les personnes plus à risque de tomber malades. «Je pense que je me sentirais plus à l'aise attendre un peu pour voir comment ces choses se sont développées et si le risque pourrait être minimisé davantage », dit-elle. Lipsitch convient que «le besoin immédiat n'est pas grand» pour les essais de provocation sur l'homme. Mais, ajoute-t-il, les chercheurs «doivent continuer à se préparer au cas où nous aurions des raisons de commencer à faire leur."

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