Maybe rooting for Russia sounds a little bit over the top. But it is true that, outside NATO's countries--enclaves--the so-called Western democracies and their sycophants, in Africa, Asia, South America, the Middle East--that things are seen quite a bit differently. And people aren't openly rooting for Russia (which many of them actually are), but there are lots and lots of people who understand the position that NATO has put Russia in. Does that mean that billions and billions of people have no humanity? Of course not. It's kind of ridiculous and insulting to say so. They all express concern for people in a warzone. Cuba and China have pledged to provide support for civilians when it becomes possible and necessary. The bulk of the blame, though, they feel, is to be laid at the door of NATO--and specifically, it's US trainers. Because they are the ones that started this whole thing, not only from the inception of NATO, out of the remnants of earlier attempts, from the MLF (Multi Lateral Force) and others, this was basically the fruition of the whole On-to-Moscow chorus. The quip is as poignant now as it was then: that the point of NATO was to 'Keep the Americans in, the Russians out, and the Germans down. And except for the out-and-out Nazis they recruited to help run the thing, this remains largely true today. The other thing that really bothers people is that their concerns are completely dismissed. There is this concept of "whataboutism." Any context or history, any perspective other than this dominant narrative that people are being asked to swallow, and are being spoon-fed, is irrelevant, it's in the way, it's inconvenient. And these are people all across the Global South, who, for hundreds of years (literally), have been saying "what about." "What about us? Why don't we count? Why don't our interests matter? Why are our needs, and our fears, and our anger dismissed and disrespected?" And you can see this now in the coverage of the conflict, the really racist crap that comes out of Western reporters' mouths. How they are just devastated, brought to tears because they are seeing this happen *in Europe! * to blond, blue-eyed people! This is not Afghanistan. This is not Syria. This is not Yemen (because we're bombing people right now in Yemen, right?). I guess they don't count at all. What about them? Nope. No problem. So that touches a nerve. And when the Russians say--and others agree--that their security concerns were never taken into account and that that is the basis for this conflict, they feel it. It resonates with people across the rest of the world, outside the bubble. So yeah, it's easy to dismiss anything that goes against this narrative because the information blockade is so complete and so powerful and so over-the-top that it is just nauseating. Seriously, anyone with any intellectual integrity cannot look at it and not see how over-the-top it is, how out of balance and how hypocritical it is in the context of history. Zelensky fled to Poland and is 'hiding in US embassy,’ Ukrainian lawmaker claims

Peut-être que l'enracinement pour la Russie semble un peu exagéré. Mais c'est vrai qu'en dehors des pays de l'OTAN, des enclaves, des démocraties dites occidentales et de leurs sycophantes, en Afrique, en Asie, en Amérique du Sud, au Moyen-Orient, les choses sont vues un peu différemment. Et les gens ne soutiennent pas ouvertement la Russie (ce que beaucoup d'entre eux sont en fait), mais il y a beaucoup, beaucoup de gens qui comprennent la position dans laquelle l'OTAN a placé la Russie. Cela signifie-t-il que des milliards et des milliards de personnes n'ont aucune humanité ? Bien sûr que non. C'est un peu ridicule et insultant de le dire. Ils expriment tous leur inquiétude pour les personnes dans une zone de guerre. Cuba et la Chine se sont engagés à fournir un soutien aux civils lorsque cela deviendra possible et nécessaire. Le gros du blâme, cependant, selon eux, doit être imputé à la porte de l'OTAN - et plus précisément, ce sont les entraîneurs américains. Parce que ce sont eux qui ont commencé tout cela, pas seulement depuis la création de l'OTAN, à partir des vestiges des tentatives antérieures, de la MLF (Multi Lateral Force) et d'autres, c'était essentiellement la concrétisation de l'ensemble On-to- Chœur de Moscou. La boutade est aussi poignante aujourd'hui qu'elle l'était alors : que le but de l'OTAN était de « garder les Américains à l'intérieur, les Russes à l'extérieur et les Allemands à terre ». Et à l'exception des nazis purs et durs qu'ils ont recrutés pour aider à diriger la chose, cela reste largement vrai aujourd'hui. L'autre chose qui dérange vraiment les gens, c'est que leurs préoccupations sont complètement rejetées.Il y a ce concept de "whataboutisme". Tout contexte ou histoire, toute perspective autre que ce récit dominant qu'on demande aux gens d'avaler, et qu'on leur donne à manger, n'est pas pertinent, c'est gênant, c'est gênant. Et ce sont des gens de tous les pays du Sud qui, depuis des centaines d'années (littéralement), disent "et qu'en est-il?" « Et nous ? Pourquoi ne comptons-nous pas ? Pourquoi nos intérêts n'ont-ils pas d'importance ? Pourquoi nos besoins, nos peurs et notre colère sont-ils rejetés et méprisés ? Et vous pouvez le voir maintenant dans la couverture du conflit, les conneries vraiment racistes qui sortent de la bouche des journalistes occidentaux. Comme ils sont juste dévastés, portés aux larmes parce qu'ils voient cela se produire *en Europe ! * aux personnes blondes aux yeux bleus ! Ce n'est pas l'Afghanistan. Ce n'est pas la Syrie. Ce n'est pas le Yémen (parce que nous bombardons des gens en ce moment au Yémen, n'est-ce pas ?). Je suppose qu'ils ne comptent pas du tout. Et eux? Nan. Aucun problème. Cela touche donc une corde sensible. Et quand les Russes disent--et d'autres sont d'accord--que leurs préoccupations sécuritaires n'ont jamais été prises en compte et que c'est la base de ce conflit, ils le sentent. Il trouve un écho auprès des gens du reste du monde, en dehors de la bulle. Alors oui, il est facile de rejeter tout ce qui va à l'encontre de ce récit parce que le blocus de l'information est si complet, si puissant et si exagéré qu'il est tout simplement nauséabond.Sérieusement, quiconque avec une quelconque intégrité intellectuelle ne peut pas le regarder et ne pas voir à quel point c'est exagéré, déséquilibré et hypocrite dans le contexte de l'histoire. Zelensky s'est enfui en Pologne et "se cache dans l'ambassade des États-Unis", affirme un législateur ukrainien