Former Russian President Dmitry Medvedev has reiterated Moscow’s determination to successfully achieve its intended objectives in Ukraine to avoid annihilation by the West. Medvedev, who is one of the closest allies of Russian President Vladimir Putin, said Kremlin will not accept any peace deal without its own volition. “Russia is conducting a special military operation in Ukraine and is attaining peace on our terms,” the former Russian president, who serves as deputy chairman of Russia’s Security Council, told TASS in an interview on Monday. Medvedev cited the 2008 conflict in northern Georgia, the expansion of the NATO military alliance westwards, and the conflict in eastern Ukraine as part of an orchestrated US-led effort by the North Atlantic Alliance to annihilate Russia. “The goal is the same: to destroy Russia.” Putin, in a speech in May, also expressed confidence that his country’s special military operation in Ukraine will achieve its intended goals. Putin: ‘No doubt’ special military operation in Ukraine will achieve result Russia says its operation is aimed at the demilitarization and de-Nazification of the Donbas while voicing concerns about NATO’s expansion in Ukraine. The Russian president says NATO’s expansion across Eastern Europe is a serious threat to Russia. Ukraine, however, says Russia’s concern is unfounded. Meanwhile, the conflict in the former Soviet state drags on for more than five months. UN Secretary-General, Antonio Guterres, warned last week at the opening of the NPT conference at the UN’s headquarters in New York that the world was only one misstep away from “nuclear annihilation.” UN secretary-general warns of 'nuclear annihilation' Speaking at another event on Monday, he told reporters in Tokyo that after decades the risk of nuclear war had re-emerged. Guterres urged all nuclear-armed countries “to commit to the principle of non-first use.” Russia and Ukraine have also been blaming one another for a recent attack at the Zaporizhzhia Nuclear Power Station, which has been under Russian control since the early days of the conflict. Officials at the Zaporizhzhia plant, located near the city of Enerhodar, said the attack by Ukrainian forces on Sunday had damaged buildings inside the complex. The UN’s nuclear watchdog, the International Atomic Energy Agency (IAEA) has also raised the alarm, warning both sides of the conflict about “the very real risk of a nuclear disaster.” Guterres condemned the attack and said that the UN “supports the IAEA on their efforts in relation to creating the conditions of stabilization of that plant.”

L'ancien président russe Dmitri Medvedev a réitéré la détermination de Moscou à atteindre avec succès ses objectifs en Ukraine pour éviter l'anéantissement par l'Occident. Medvedev, qui est l'un des alliés les plus proches du président russe Vladimir Poutine, a déclaré que le Kremlin n'accepterait aucun accord de paix sans son propre gré. "La Russie mène une opération militaire spéciale en Ukraine et parvient à la paix selon nos conditions", a déclaré lundi à TASS l'ancien président russe, qui est vice-président du Conseil de sécurité russe. Medvedev a cité le conflit de 2008 dans le nord de la Géorgie, l'expansion de l'alliance militaire de l'OTAN vers l'ouest et le conflit dans l'est de l'Ukraine dans le cadre d'un effort orchestré par l'Alliance de l'Atlantique Nord dirigé par les États-Unis pour anéantir la Russie. « Le but est le même : détruire la Russie. Poutine, dans un discours en mai, a également exprimé sa confiance dans le fait que l'opération militaire spéciale de son pays en Ukraine atteindra ses objectifs. Poutine : "Il ne fait aucun doute" qu'une opération militaire spéciale en Ukraine donnera des résultats La Russie affirme que son opération vise à la démilitarisation et à la dénazification du Donbass tout en exprimant ses inquiétudes quant à l'expansion de l'OTAN en Ukraine. Le président russe a déclaré que l'expansion de l'OTAN à travers l'Europe de l'Est est une menace sérieuse pour la Russie. L'Ukraine, cependant, affirme que l'inquiétude de la Russie n'est pas fondée.Pendant ce temps, le conflit dans l'ancien État soviétique s'éternise depuis plus de cinq mois. Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a averti la semaine dernière lors de l'ouverture de la conférence sur le TNP au siège de l'ONU à New York que le monde n'était qu'à un faux pas de "l'annihilation nucléaire". Le secrétaire général de l'ONU met en garde contre "l'annihilation nucléaire" S'exprimant lors d'un autre événement lundi, il a déclaré aux journalistes à Tokyo qu'après des décennies, le risque de guerre nucléaire était réapparu. António Guterres a exhorté tous les pays dotés d'armes nucléaires "à s'engager à respecter le principe de non-utilisation en premier". La Russie et l'Ukraine se sont mutuellement accusées d'une récente attaque contre la centrale nucléaire de Zaporizhzhia, qui est sous contrôle russe depuis les premiers jours du conflit. Les responsables de l'usine de Zaporizhzhia, située près de la ville d'Enerhodar, ont déclaré que l'attaque des forces ukrainiennes dimanche avait endommagé des bâtiments à l'intérieur du complexe. L'organisme de surveillance nucléaire de l'ONU, l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), a également tiré la sonnette d'alarme, avertissant les deux parties au conflit du "risque très réel d'une catastrophe nucléaire". António Guterres a condamné l'attaque et a déclaré que l'ONU "soutient l'AIEA dans ses efforts pour créer les conditions de stabilisation de cette centrale".