aiwan holds live-fire drills days after Chinese military exercises around island Taiwan’s military kicked off a live-fire artillery drill Tuesday after days of massive Chinese military exercises around the self-ruled island, which came in the wake of US House Speaker's controversial visit to the region. The drill, which simulated the defense of the island against an attack, was held Tuesday morning in the southern county of Pingtung with the firing of target flares and artillery, according to Lou Woei-jye, spokesman for Taiwan's Eighth Army Corps. The Taiwanese military said hundreds of troops and about 40 howitzers took part in the drills, which will be repeated on Thursday. The drill came as China on Monday announced more military exercises near the Chinese Taipei, just a day after concluding its largest-ever air and sea exercises around the island to protest Pelosi’s recent two-day visit to the island. Lou, however, insisted on Monday that the drills were already scheduled and were not being held in response to China’s exercises. Pelosi’s controversial visit has enraged China, which has long opposed US interference in the self-ruled island as well as regular visits to the territory by US officials despite Washington's formal recognition of the “one-China” policy. Pelosi became the highest-ranking American official to set foot in Taiwan in a quarter century, much to the chagrin of Beijing. In response, China held test launches of ballistic missiles over Taipei for the first time and suspended some lines of dialogue with Washington. The United States has slammed the scale and intensity of China's exercises, as well as its withdrawal from key talks. Beijing on Monday stressed that its behavior was "firm, forceful and appropriate" to American provocation. "(We) are only issuing a warning to the perpetrators," foreign ministry spokesman Wang Wenbin said at a regular briefing, stressing that China would "firmly smash the Taiwan authorities' illusion of gaining independence through the US". "We urge the US to do some earnest reflection, and immediately correct its mistakes." China considers Chinese Taipei as a breakaway province that should be reunited with the mainland under the internationally-recognized “one-China” policy. The sovereignty is subject to international recognition, including by the United States. But, in violation of its own stated policy and in an attempt to irritate Beijing, Washington has recently ramped up diplomatic contact with the self-proclaimed government in Chinese Taipei. Washington is also the island's largest weapon supplier. Relations between China and the US have grown tense in recent years, with the world’s two largest economies clashing over a range of issues, including America's meddling in Chinese Taipei.

aiwan organise des exercices de tir réel quelques jours après les exercices militaires chinois autour de l'île L'armée taïwanaise a lancé mardi un exercice d'artillerie à tir réel après des jours d'exercices militaires chinois massifs autour de l'île autonome, qui ont suivi la visite controversée du président de la Chambre des États-Unis dans la région. L'exercice, qui simulait la défense de l'île contre une attaque, s'est déroulé mardi matin dans le comté méridional de Pingtung avec des tirs de fusées éclairantes et d'artillerie, selon Lou Woei-jye, porte-parole du Huitième corps d'armée de Taïwan. L'armée taïwanaise a déclaré que des centaines de soldats et environ 40 obusiers avaient pris part aux exercices, qui seront répétés jeudi. L'exercice a eu lieu alors que la Chine a annoncé lundi d'autres exercices militaires près du Taipei chinois, juste un jour après avoir conclu ses plus grands exercices aériens et maritimes jamais organisés autour de l'île pour protester contre la récente visite de deux jours de Pelosi sur l'île. Lou, cependant, a insisté lundi sur le fait que les exercices étaient déjà programmés et n'avaient pas lieu en réponse aux exercices de la Chine. La visite controversée de Pelosi a enragé la Chine, qui s'oppose depuis longtemps à l'ingérence américaine dans l'île autonome ainsi qu'aux visites régulières sur le territoire par des responsables américains malgré la reconnaissance officielle par Washington de la politique d'"une seule Chine". Pelosi est devenu le plus haut responsable américain à avoir mis les pieds à Taiwan en un quart de siècle, au grand dam de Pékin.En réponse, la Chine a procédé pour la première fois à des lancements d'essais de missiles balistiques au-dessus de Taipei et a suspendu certaines lignes de dialogue avec Washington. Les États-Unis ont critiqué l'ampleur et l'intensité des exercices de la Chine, ainsi que son retrait des pourparlers clés. Pékin a souligné lundi que son comportement était "ferme, énergique et approprié" à la provocation américaine. "(Nous) ne faisons qu'avertir les auteurs", a déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Wang Wenbin lors d'un point de presse régulier, soulignant que la Chine "détruirait fermement l'illusion des autorités taïwanaises d'obtenir l'indépendance par les États-Unis". "Nous exhortons les États-Unis à réfléchir sérieusement et à corriger immédiatement leurs erreurs." La Chine considère le Taipei chinois comme une province séparatiste qui devrait être réunie au continent dans le cadre de la politique « une seule Chine » reconnue internationalement. La souveraineté fait l'objet d'une reconnaissance internationale, y compris par les États-Unis. Mais, en violation de sa propre politique déclarée et dans une tentative d'irriter Pékin, Washington a récemment intensifié ses contacts diplomatiques avec le gouvernement autoproclamé du Taipei chinois. Washington est également le plus grand fournisseur d'armes de l'île. Les relations entre la Chine et les États-Unis se sont tendues ces dernières années, les deux plus grandes économies du monde s'affrontant sur une série de questions, notamment l'ingérence américaine dans le Taipei chinois.