Defying warnings, Erdogan highlights ‘permanent’ plan to establish ‘secure line’ at Syria border Turkish President Recep Tayyip Erdogan has underlined his determination to carry on with his plan for a new cross-border offensive in neighboring Syria to remove members of the US-backed Kurdish People’s Protection Units (YPG) militant group from border areas. “We will continue our fight against terrorism. Our decision to establish a 30-kilometer-deep (18.6-mile) secure line along our southern border is final,” Erdogan said in an address to Turkish diplomats attending the 13th Ambassadors Conference in the capital Ankara on Monday. He went on to say that he hoped Turkey would soon eliminate the remaining pockets of the militant group in Syria. Last month, Erdogan hinted that a new Turkish operation against the YPG militants will remain on the agenda until security concerns are addressed. Back on July 19, the Turkish president earned a rebuke for his push for the offensive from Leader of the Islamic Revolution Ayatollah Seyed Ali Khamenei, whose country has been helping Syria in its anti-terror campaign, in a bilateral meeting. Ayatollah Khamenei told Erdogan that any Turkish offensive on Syria would be “detrimental” to Syria, Turkey itself, and the entire region, calling for the issue to be resolved through dialog between Ankara, Damascus, Moscow, and Tehran. Moscow has also previously called on Ankara to “refrain” from an attack. Erdogan on May 23 signaled a new Turkish cross-border operation in northern Syria with the declared aim of creating a 30-kilometer (18.6-mile) wide safe zone along Turkey’s border with Syria. He did not provide further details but said the operation would be launched as soon as military, intelligence, and security forces have completed their preparations.

Défiant les avertissements, Erdogan met en avant un plan "permanent" pour établir une "ligne sécurisée" à la frontière syrienne Le président turc Recep Tayyip Erdogan a souligné sa détermination à poursuivre son plan de nouvelle offensive transfrontalière en Syrie voisine pour expulser les membres du groupe militant des Unités de protection du peuple kurde (YPG) soutenu par les États-Unis des zones frontalières. « Nous poursuivrons notre combat contre le terrorisme. Notre décision d'établir une ligne sécurisée de 30 kilomètres de profondeur (18,6 milles) le long de notre frontière sud est définitive », a déclaré Erdogan dans un discours aux diplomates turcs participant à la 13e conférence des ambassadeurs dans la capitale Ankara lundi. Il a poursuivi en disant qu'il espérait que la Turquie éliminerait bientôt les poches restantes du groupe militant en Syrie. Le mois dernier, Erdogan a laissé entendre qu'une nouvelle opération turque contre les militants des YPG resterait à l'ordre du jour jusqu'à ce que les problèmes de sécurité soient résolus. Le 19 juillet, le président turc a été réprimandé pour sa poussée en faveur de l'offensive par le chef de la révolution islamique, l'ayatollah Seyed Ali Khamenei, dont le pays a aidé la Syrie dans sa campagne anti-terroriste, lors d'une réunion bilatérale. L'ayatollah Khamenei a déclaré à Erdogan que toute offensive turque contre la Syrie serait "préjudiciable" à la Syrie, à la Turquie elle-même et à toute la région, appelant à ce que la question soit résolue par le dialogue entre Ankara, Damas, Moscou et Téhéran.Moscou a également précédemment appelé Ankara à "s'abstenir" d'une attaque. Le 23 mai, Erdogan a signalé une nouvelle opération transfrontalière turque dans le nord de la Syrie dans le but déclaré de créer une zone de sécurité de 30 kilomètres (18,6 milles) de large le long de la frontière entre la Turquie et la Syrie. Il n'a pas fourni plus de détails mais a déclaré que l'opération serait lancée dès que les forces militaires, de renseignement et de sécurité auront terminé leurs préparatifs.